LOME, 14 mars -- Le ministre togolais de
laCommunication et de la Culture Oulégoh Kéyéwa a dénoncé et
déplorévendredi la piraterie des oeuvres de l'esprit à l'occasion de la
première journée nationale de lutte contre la piraterie.
Cette journée, selon les organisateurs, permettra
non pas d'aller faire des ravages sur le marché, mais d'apprendre aux
commerçants de ces oeuvres les règles en la matière.
La piraterie est une gangrène qui non seulement nuit
à l'évolution de la culture togolaise, mais aussi agit négativement
sur l'économie du pays et sur les oevres de l'esprit, a estimé le
ministre.
Cet acte illégal porte préjudice aux artistes,
affaiblit les industrie culturelles légales et même entraîne des effets
négatifssur l'économie nationale, a affirmé le ministre.
Au cours de cette journée, des voix se sont élévées
pour dénoncer cette pratique qui empêche les artistes de bénéficier
desfruits de leur invention. "Le marché où se confondent des vrais
etdes faux, place ainsi le créateur dans une situation de déception
et d'incapacité à poursuivre ses recherches" a critiqué un
artiste.
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